En direct avec Pierre Haddad PhD
Voici une initiative qui propose des ressources pour bien s'informer et réagir aux changements réglementaires proposés par la DPSNSO:
Sauvons nos suppléments : https://www.saveoursupplements.ca
Des sites gouvernementaux expliquent le recouvrement des coûts:
1. Général :
https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/financement/recouvrement-couts-frais-service.html
2. Frais proposés pour les produits de santé naturels: https://www.canada.ca/fr/sante-canada/programmes/consultation-frais-proposes-produits-sante-naturels/frais-politique-frais.html
« Il y aurait donc des coût pour présenter des demandes pour des nouveaux produits. Imaginez-vous que pour un produit qu'ils appellent « innovant », c'est à dire des nouveaux mélanges qui ne sont pas présents dans la médecine traditionnelle, ayurvédique, chinoise ou autre, mais plutôt des combinaisons qui font du sens du point de vue pharmacologique - comme je l'ai fait avec le Metabzen (et je suis très content que ça fonctionne et que ça aide du monde, pour moi, ça vaut de l'or)- selon les calculs qu'ils ont faits (basés sur les 3 dernières années de pandémie), une demande pour mettre sur le marché une telle formule peut aller jusqu'à 50 000 $... Nous ne parlons pas ici de compagnies pharmaceutiques, mais de compagnie de produits de santé naturels (qui n'ont pas les mêmes moyens).
De l'autre côté, il y aurait aussi les frais d'accès au marché pour garder sur les étagères chaque produit qu'on a. C'est beau que ça coute juste 500 $/an le produit, mais multiplié par un inventaire de 200, 300 produits, ça représente chaque année des coûts significatifs pour simplement garder sur le marché les produits pour lesquels on a déjà obtenu les licences de mise en marché.
Il y a donc deux aspects inquiétants : un, la recherche et l'accès aux nouveaux produits innovants (vont-ils disparaître vu les frais?) puis le deuxième, qu'est-ce qu'il va arriver avec les compagnies? Elles vont se concentrer sur leur(s) meilleur(s) vendeur(s) et vont peut-être retirer de leur catalogue les produits un peu plus nichés.
Au bout de la ligne, il y aura moins de produits-moins de choix sur le marché et à des prix supérieurs (parce qu'une entreprise ne peut pas juste encaisser les coûts).
Donc, moins d'outils pour donner la possibilité aux gens de gérer leur santé allant complètement contre l'idée de l'auto-soin dont ils veulent faire la promotion eux-mêmes. »
Sauvons nos suppléments : https://www.saveoursupplements.ca
Des sites gouvernementaux expliquent le recouvrement des coûts:
1. Général :
https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/financement/recouvrement-couts-frais-service.html
2. Frais proposés pour les produits de santé naturels: https://www.canada.ca/fr/sante-canada/programmes/consultation-frais-proposes-produits-sante-naturels/frais-politique-frais.html
« Il y aurait donc des coût pour présenter des demandes pour des nouveaux produits. Imaginez-vous que pour un produit qu'ils appellent « innovant », c'est à dire des nouveaux mélanges qui ne sont pas présents dans la médecine traditionnelle, ayurvédique, chinoise ou autre, mais plutôt des combinaisons qui font du sens du point de vue pharmacologique - comme je l'ai fait avec le Metabzen (et je suis très content que ça fonctionne et que ça aide du monde, pour moi, ça vaut de l'or)- selon les calculs qu'ils ont faits (basés sur les 3 dernières années de pandémie), une demande pour mettre sur le marché une telle formule peut aller jusqu'à 50 000 $... Nous ne parlons pas ici de compagnies pharmaceutiques, mais de compagnie de produits de santé naturels (qui n'ont pas les mêmes moyens).
De l'autre côté, il y aurait aussi les frais d'accès au marché pour garder sur les étagères chaque produit qu'on a. C'est beau que ça coute juste 500 $/an le produit, mais multiplié par un inventaire de 200, 300 produits, ça représente chaque année des coûts significatifs pour simplement garder sur le marché les produits pour lesquels on a déjà obtenu les licences de mise en marché.
Il y a donc deux aspects inquiétants : un, la recherche et l'accès aux nouveaux produits innovants (vont-ils disparaître vu les frais?) puis le deuxième, qu'est-ce qu'il va arriver avec les compagnies? Elles vont se concentrer sur leur(s) meilleur(s) vendeur(s) et vont peut-être retirer de leur catalogue les produits un peu plus nichés.
Au bout de la ligne, il y aura moins de produits-moins de choix sur le marché et à des prix supérieurs (parce qu'une entreprise ne peut pas juste encaisser les coûts).
Donc, moins d'outils pour donner la possibilité aux gens de gérer leur santé allant complètement contre l'idée de l'auto-soin dont ils veulent faire la promotion eux-mêmes. »