Une journaliste reçoit un soin à notre salon de beauté: voici son témoignage !

Écrit par: L'équipe Maison Jacynthe
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Publié le: 13 novembre 2018
Une journaliste reçoit un soin à notre salon de beauté: voici son témoignage !

Une journaliste reçoit un soin à notre salon de beauté de Ste-Thérèse. Voici (trop beau donc je partage, saluant et remerciant nos merveilleuses esthéticiennes) :

Novembre et ses pluies grises. J’entre dans une bulle. Je monte l’escalier et arrive face à une alcôve de lumière. L’endroit est superbe. Reposant.


On m’offre un bain de pied dans une eau parfaite parfumée à la lavande. Jamais je n’aurais connu plus délectable cocktail de bienvenue. Mes pieds s’enivrent déjà sans savoir où mes pas les porteront. Du coup, je réalise que je n’ai aucune idée de se qui va se passer vraiment sinon de me laisser aller en pleine confiance. Ce que je ferai.


Les soins prodigués dépassent largement, Ô très largement, ce à quoi je suis habituée. Les parfums se mêlent, dansent sous mon nez et m’entrainent tantôt dans l’abandon, tantôt dans des souvenirs qui me chatouillent le bonheur. L’effet olfactif se fait sentir (!). Douce drogue à effet secondaire immédiat. 


Puis, des mains magiques se posent sur mon visage. Ces mains ont la chaleur de l’enfance, la quiétude du silence et, surtout, les bienfaits d’un toucher thérapeutique. Sur la peau de mon visage, mon corps tout entier s’y retrouve tellement j’entre en état d’apesanteur. Je me sens plus molle qu’une gelée fruitée!


La chaise qui me soutient, il faut que quelque chose me soutienne, dégage aussi une douce chaleur réconfortante et, attention suprême, me masse l’échine par roulis et pressions. Je n’existe plus, je suis!
Je regarde par la fenêtre, novembre est encore gris. Je referme les yeux et je touche mon ciel bleu. Décidément, je ne veux plus ouvrir les yeux. Doucement, pourtant, il me faudra le faire. Les marches que j’ai escaladées pour me rendre à l’étage, je devrai les descendre. Quel effort.


Pourtant, dehors, un vol d’outardes m’attendait. Je les aurais suivies tellement je me sentais libre et heureuse. C’est ça, l’effet Maison Jacinthe. De l’énergie pure.

Danielle Cloutier
Journaliste, FPJQ

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